Cinq raisons les gens changent

En tant que thérapeute pratiquant pour la plupart de ma carrière, je me suis pris en compte dans l'entreprise le changement - aider les gens à briser les schémas de problèmes de comportement. Mais toute personne qui travaille avec des gens sait que tout le monde ne voit le besoin de changement ou est motivée à prendre des mesures.

Je pense que je connaissais les parents dont les fils adulte a passé son réveil le cannabis fumer heures, regarder la télévision, et qui avait apparemment abandonné l'espoir d'une vie meilleure. Que pouvaient-ils faire? Comment pourraient-ils influer sur le changement? Je crois que lorsque le changement se produit, il ya 5 principaux facteurs qui contribuent.

1. Ils veulent changer. Il est toujours plus facile de travailler avec des gens qui voient la nécessité d'un changement et sont prêts à faire quelque chose. Cela ne signifie pas que le changement viendra facile, bien sûr. Nous sommes tous des créatures d'habitude et peut souvent trouver le changement difficile, mais au moins de vouloir changer est un bon début. Si vous travaillez avec des gens dans un rôle d'aidant, au moins savoir ce que les gens veulent et de voir si vous pouvez établir un lien avec le comportement que vous ou d'autres aimeraient voir.

Beaucoup de jeunes hommes que j'ai vus qui ont été suspendus de l'école voulaient souvent l'école ou à leurs parents hors de leur retour. L'école et leurs parents généralement voulu voir un meilleur comportement. Assez drôle, les stratégies pour obtenir leur école / parents hors de leur retour exigé que les mêmes changements que d'autres voulaient voir. En trouver quelque chose que les gens veulent ou sont motivés pour, les changements peuvent venir un peu plus facile.

2. Ils veulent éviter des conséquences négatives. La vie ne devrait pas être comme ça. Mais la vérité est que les êtres humains sont motivés soit par plaisir ou par la douleur, parfois les deux. Mais ici, les conséquences ou de la douleur doit être motivant pour la personne concernée. Il n'est pas bon de suspendre un élève si elles ne se soucient pas vraiment à ce sujet.

Cependant, je sais d'un étudiant qui a été motivée par la pensée de sa mère étant assez bête pour s'asseoir à l'arrière de la salle de classe, si son comportement ne s'améliore pas. La clé est de trouver ce que personne concernée se soucie et comment cela peut être utilisé comme une récompense ou une conséquence négative. Dans l'exemple précédent, le jeune homme se souciait pas l'air ridicule devant ses amis.

3. L'environnement autour d'eux change. Le facteur environnemental, nous avons le plus de contrôle sur est, bien sûr, notre propre comportement. Souvent lorsque nous changerions notre cadre d'une relation, d'autres vont changer à la suite. Cela est également vrai dans les relations de l'équipe. Comme ils voient que d'autres ont une attitude plus positive à l'acceptation ou un changement de travail, ils peuvent très bien présenter une attitude moins négative.

D'autres fois, il est l'environnement physique qui doit changer. Un adolescent, je savais qui était en route pour un centre commercial tard dans la nuit pour sortir avec ses amis a rapidement eu ce comportement a changé quand il a été nécessaire d'aller directement à la maison de ses grands-parents tout de suite après l'école, certains à bonne distance du centre commercial.

4. Leurs changements de physiologie. Quand mon jeune fils se conduisent mal, une des premières choses que je fais (quand je pense) est de me demander s'ils sont fatigués, affamés, ou de malaise. Lorsque ces besoins sont répondu à, souvent, leur comportement s'améliore. La même chose est également vraie pour d'autres personnes qui sont fatigués, affamés, sont malades, ou qui ont une condition médicale quelconque.

Si vous êtes en mesure de répondre à toutes les causes physiologiques, vous pourriez bien voir un meilleur comportement. Vous pouvez essayer de glisser un Valium dans le café de votre patron - mais je suggère de quitter les diagnostics et les traitements aux experts.

5. Ils deviennent de plus prêt pour le changement. Je crois qu'il ya deux différents types de préparation pour le changement. Il est prêt physiologique. Certes, les parents voient cela avec leurs enfants. Comme le cerveau d'un enfant se développe et ils atteignent de nouveaux stades de leur développement, ils deviennent plus à même de faire les changements que nous aimerions les voir faire.

Il ya aussi la préparation psychologique où les gens deviennent plus prêt à changer en devenant plus à l'aise avec le statu quo ou motivés par la façon dont ils aimeraient que les choses soient. Parfois, d'autres ont pour permettre le statu quo à devenir plus inconfortable avant que certains voient la nécessité d'un changement. La maturité peut également contribuer à un niveau supérieur de préparation psychologique. J'ai souvent l'habitude de voir des gens qui avaient lutté contre les dépendances depuis de nombreuses années à atteindre leur fin des années 30 puis dire qu'ils étaient trop vieux pour être porteur sur le même chemin, puis commencer à travailler dur sur leur rétablissement.

Parfois, il est une combinaison de ce qui précède qui influe sur les autres à changer. Et puis il ya ceux qui ne changera jamais. Je me console avec la pensée que Jésus lui-même, quand il était là, n'a pas réussi à mettre tout le monde à changer. Les gens ont encore le choix. Nous pouvons influencer les autres à changer, mais, finalement, leur comportement est hors de notre contrôle.

Bien que nous sommes tous aux prises avec le changement, il ya certaines avec des conditions diagnosticable, le syndrome d'Asperger ou de troubles de la personnalité, par exemple, qui trouvent changer particulièrement difficile. Pour ceux qui trouvent changer très difficile, nous sommes confrontés à des choix de faire face à leur comportement, nous éloigner d'eux peut-être, ou la gestion de leur comportement aussi bien que possible.